The Black Dahlia Murder – Episode VIII : Nightbringers
La suite du retour de la revanche du cassage de fion en bonne et due forme.
The Black Dahlia Murder fait sans doute partie de ses groupes auxquels j’aurais pu/dû m’intéresser plus tôt. En effet ma seule rencontre ave le groupe avant cet album était un concert au Hellfest 2006 où je n’avais que peu accrocher à la musique du groupe. Les goûts et les couleurs évoluant, je me suis dit qu’y revenir ne serait sans doute pas une mauvaise idée. L’amicale pression d’un américain rencontré dans le photopit du Hellfest, accessoirement super pote du groupe, n’y étant pas étrangère non plus.
TBDM c’est un savant mélange de Death/Thrash mâtiné de Hardcore en mode super pas content.
9 titres, 33 minutes et pas un seul temps mort si ce n’est une petite baisse de régime sur Nightbringers, premier extrait de l’album en single et morceau absolument pas représentatif de l’album tellement le reste est un hymne au pétage de rotule. Of God and Serpent, of Spectre and Snake est un modèle d’efficacité quand il s’agit de tout détruire. Mention spéciale à Alan Cassidy, totalement démentiel derrière les fûts et qui récite une partition proprement hallucinante quelque soit le morceau. Ici avec un changement de rythme, là avec une petite chips bien sentie (les petits coups de cloches sur Of God and Serpent, of Spectre and Snake – du génie). Difficile pour moi de passer sous silence la prestation de Brandon Ellis, dernière recrue de la bande mais pas des moindre. Le mec enquille solo sur solo avec une maestria assez bluffante, ce petit riff sur le couplet de Kings Of The Nightworld ou bien cette intro dantesque sur As Good As Dead, pfiouuuuu.
Pour faire court, simple et concis: Nightbringers est bon voir très bon. Difficile pour moi de juger par rapport au reste de la disco du groupe tout simplement parce que je ne la connais pas. Toujours est-il que si elle est aussi redoutable que cet album… ça promet.