Nous allons aujourd’hui étudier un exercice de style connu comme étant parmi les plus casses gueules (si ce n’est le plus casse gueule) de la musique, à savoir la réinterprétation d’un ancien album plusieurs années après sa sortie. Le sujet du jour n’est ni plus ni moins que le Stormblast de Dimmu Borgir, masterpiece parmi les masterpieces du black.
Après une édition 2006 chargée de souvenirs à la pelle: le set d’Emperor, une visite au commissariat en break de police avec chauffeur, on s’est dit que cette année nous allions voir les choses en grand: partir à 5 et pas seulement à 2 et en plus tenter des innovations comme troquer le tapis de sol pour un matelas gonflable. Un truc de dingue je vous dis…
Première des 2 dates à Paris de Dimmu Borgir, oui 2 dates, allez savoir pourquoi… peut-être que les ventes ont été bonnes chez nous et que pour une fois on a droit a du rab’. Bref Demi Burger débarque avec dans ses valises Amon Amarth et Engel en remplacement d’Hatesphere.
4 ans! Il aura fallu 4 ans à Shagrath et ses potes pour pondre le successeur de Death Cult Armageddon, projet ultra ambitieux qui avait fait grincer des dents chez les fans de la première heure car le groupe décidait d’être moins « raw » que sur ses précédents opus, eux même déjà plus light comparé à un Stormblast par exemple.
Alors?
Tarif de groupe aujourd’hui puisque nous avons au programme, non pas un mais DEUX membres de Dimmu Borgir pour nous parler de leur dernier bébé.
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