Ayant été la risée de tous mes petits camarades chevelus: premièrement parce que je ne le suis pas (la faute à une génétique désastreuse) et deuxièmement parce que j’ai été un des seuls à défendre le dernier Morbid Angel au prétexte que je n’aime pas les albums dit « cultes », je ne pouvais donc pas passer sous silence la sortie de l’album de remix de David Vincent & co.